John Carlin, the deaf painter, in a letter to the Clerc Literary Association, some years after Laurent's death recounted an interaction with Clerc that helped to clarify the fund raising history of those early years. Laurent stated that one of the former Directors of the Asylum, Mr. Hudson, went in 1818 to Washington City, taking Professor Clerc with him. When Mr. Clerc was introduced to Mr. Henry Clay, then Speaker of the House of Representatives. Mr. Clay apparently recognized Laurent as the deaf man he saw conversing in sign language to a companion in a cafe near the school on rue St. Jacques. Mr. Clay was an ambassador at the time. Mr. Clay greeted him most cordially, and brought him to a seat just by his own. Mr. Hudson was not honoured in a like manner. The Speaker then proceeded to introduce Mr. Clerc to the members present and requested that they suspend their usual business for a least a half hour in order to ascertain by free conversation on paper Thea ability of an educated deaf mute to read and express his ideas in language. This was done and repeated a few days after, and they all were much pleased with his intelligence, and fully satisfied that deaf mutes could be educated. During this second session with Mr. Clay, after Laurent stated the reason for soliciting funds from the United States Congress, the Speaker personally promised to assist him in his noble work.
Laurent was also introduced to President Monroe, who instantly recognized him as one shot he saw at one of Sicard's exhibitions (in France), displaying his powers in his mother language. And we know that the Congress granted the American Asylum land in Alabama which would net $300,000, a tidy sum even then and the making of financial security in those early days.
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John Carlin, le peintre sourd, dans une lettre à l'Association littéraire Clerc, quelques années après la mort de Laurent, a raconté une interaction avec Clerc qui a contribué à clarifier l'histoire de la collecte de fonds de ces premières années. Laurent a déclaré que l'un des anciens directeurs de l'asile, M. Hudson, s'est rendu en 1818 à Washington City, emmenant avec lui le professeur Clerc. Lorsque M. Clerc a été présenté à M. Henry Clay, alors président de la Chambre des représentants. M. Clay aurait reconnu Laurent comme l'homme sourd qu'il avait vu converser en langue des signes avec un compagnon dans un café près de l'école de la rue Saint-Jacques. M. Clay était alors ambassadeur. M. Clay le salua très cordialement et l'amena à un siège juste à côté du sien. M. Hudson n'a pas été honoré de la même manière. Le Président présente ensuite M. Clerc aux membres présents et leur demande de suspendre leurs affaires habituelles pendant au moins une demi-heure afin de vérifier par une conversation libre sur papier la capacité d'un sourd-muet instruit à lire et à exprimer ses idées dans langue. Cela fut fait et répété quelques jours après, et ils furent tous très satisfaits de son intelligence et pleinement convaincus que les sourds-muets pouvaient être éduqués. Au cours de cette deuxième séance avec M. Clay, après que Laurent ait exposé la raison pour laquelle il sollicitait des fonds auprès du Congrès des États-Unis, le Président a personnellement promis de l'aider dans son noble travail.
Laurent a également été présenté au président Monroe, qui l'a immédiatement reconnu comme un cliché qu'il a vu lors d'une des expositions de Sicard (en France), montrant ses pouvoirs dans sa langue maternelle. Et nous savons que le Congrès a accordé à l’American Asylum des terres en Alabama qui rapporteraient 300 000 $, une somme coquette déjà à l’époque et qui constituait une sécurité financière à ces débuts.
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